Il est des soirs qui sont comme autant de promesses
Des nuits où l’on rêve d’autres nuits étoilées
L’air chaud à la fenêtre et des mots murmurés
Il est des nuits qui sont comme autant de tendresses
Des mots qui sonnent comme une paix retrouvée
Douceur bucolique d’un cœur nostalgique
Et sentiments tendrement mélancoliques
Dans ces nuits d’avril les nuits de mai paressent
Il est des soirs qui sont comme autant de promesses
Des nuits où l’on rêve d’autres nuits étoilées
Qu’il est doux ces nuits là de penser à lui
Partir à la dérive sur les ailes de la nuit
Partir à la dérive sur les ailes de la vie
Partir à la dérive…
Paris (30 avril 1983)