Un petit poisson un petit oiseau…ici commence la promenade au milieu des poissons d argent volant immobiles au dessus de la rivière qui les mire
De la nature, des mots…de la nature des mots à ciel ouvert
Dans cette maison pousse un jardin bleu de pots pelles et autres arrosoirs tout son vert entourage et ses roses trémières très effrontées,
Suivent en farandoles naives des bouteilles à la mer, au bord de la rivière qui fait sa chanson d’été ..messages d’enfants trés sages prosaïques ou engagés, à savourer puis le chemin fait trois petits tours de futaies, baigné d’ une ambiance sonore sensorielle comme les incroyables odeurs de tilleul le frais bruit de l’eau et le chant des oiseaux, soleil sur la peau..
On peut alors traverser d’antiques colonnes pour saisir le temps qui passe et admirer ensuite une cabane de bois frustre qui enjambe la rivière..
Les 5 continents nous accueillent comment autant de petites maisons colorées puis Les arbres nous parlent de tous leurs troncs maquillés d’exclamations poétiques péremptoires.
Le vent facétieux joue, le soleil caresse la peau comme un amant très doux .. des miroirs en tout sens nous renvoient notre image morcelée répétée..
.Dans la cabane….obscure humanité, la chaleur primitive assaille, l’oeil nous observe et nous questionne, un détour et l’on débouche.sur une foire en fuite ayant laissé derrière elle, vestiges couleur émeraude, quelques autos tamponneuses investies par des nuées d’ enfants …
Couchons-nous dans l’herbe haute sous la drôle de soucoupe mais où sont-ils les gentils extraterrestres on pourrait presque entendre dans l air chaud un drôle de petit bonhomme vert perdu tout seul et très malheureux petit prince martien pleurer » ET maison? « , En guise de mouton un animal végétal fait de branchages entremêlés clôt cette étrange balade où l’art épouse la nature.