Ce n’était vraiment pas le moment pour toi mais ils ne t’ont pas écoutée
Et voilà le temps a passé, l’eau a coulé et ils sont toujours là tes fantômes du passé…
A pleurer la maladresse initiale, A pleurer tant et plus.
Tu les entends la nuit qui grattent à ta porte
Ils voudraient rentrer et peut être s’excuser mais tu ne leur ouvres pas
Tu as verrouillé ton âme, Enfermé ton coeur dans un triple blindage.
Il ne fallait pas t’aimer, pas si vite si mal,
Il ne fallait pas te toucher.
Ils se sont tous brûlés à la flamme vive de tes écorchures,
Ils n’ont pas supporté…
Ils peuvent bien continuer à gratter,
Tu n’ouvriras pas,
Tu n’as plus la clé,
Tu leur avais bien dit pourtant que ce n’était pas le moment !
Tu les entends la nuit, tu les entends le jour, tu les entends toujours…
Tu les entends gratter
A la porte
De ton cœur
Blindé….
De bien vilains fantômes qui grattent dans les cicatrices qu’ils ont eux-mêmes taillées lorsqu’ils étaient humains…et l’enfant blessée guérit mal…Il lui faudra beaucoup d’aide et d’amour pour à force de paroles éloigner les spectres loin.
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Quand le cœur a été éprouvé, il se ferme. A double tour.
Très joliment conté.
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J’aime beaucoup ce texte. Trop ? c’est trop ! maintenant le coeur est fermé !
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