Ce cher lieu, au loin notre petit village
Niché dans l’écrin de cette nature sage
Velours turquoise quand vient le soir
Il retient de toute la blondeur de ses pierres
Les ultimes feux d’un soleil qui déjà rougeoit
Avivant en son déclin d’une beauté éphémère
Le ciel sur nos tête, ce large dais qui déploie…
ses aplats citrines bordées de volutes vermeilles.
Merveille…
Framboise sur le gâteau de tendre ciel. Gourmandise céleste à goûter sans péril. Loin des infos si pleines de fiel. Loin des rumeurs tristes de la ville.
Vivre en conscience oui mais sereins.
Plaisir gratuit de museurs en chemin.

éteindre le petit et se nourrir des merveilles du grand écran. Celui de la Vie. En conscience oui, mais serein. C’est notre seul salut. Merci pour ce beau texte et cette belle photo. Solange.
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