Dans cette famille on s’aime, on ne s’aime pas on sème…
On câline le chien, les chats, on s’aime, on ne le dit pas
Dans cette famille on sème, qui des plants, des graines
Qui des mots, graines d’espoir, ou de détresse,
SOS
On s’aime, on ne le dit pas, on sème
On dit
Passe moi le sel
Tu as encore
Mal rangé ce plat
On dit
Lassitude
On dit
On ne dit pas
On sème,
Mots d’usure du quotidien
On s’irrite,
On ne s’irrigue pas
Tous les jours
On s’érige souvent
Défenseur d’une loi
Celle du chacun pour soi
Qui sème le vent
Des quiproquos
Récolte
La tempête
Des mots murs
A se taper la tête contre
On ne sait plus qui a dit ça
On tente chacun à sa manière
De cheminer
A petit pas
Seul se câlinent le chien, les chats
Et heureusement parfois
Qu’ils sont là
Ah ! Je l’avais raté celui-là ! J’adore ! Quel rythme ! Ça jazz ou ça jase…
J’aimeJ’aime
Bonjour Cécile. Heureux de te retrouver. Que je comprends ton texte. Les familles ont parfois ce côté sclérosant et anesthésiant. Elles peuvent aussi à l’inverse être de vrais simulateurs. Comme dit Pat, ç’est nécessaire de sortir ça de toi. Bizh à toi et à bientôt pour un autre écrit. Je te fais la comande d’un texte déjanté comme tu sais si bien les faire. Alan
J’aimeJ’aime
Et vlan! Fallait qu’ça sorte ! Je suis sûr que ça t’a fait du bien…et c’est quand même mieux qu’un trou dans un mur. Et puis finalement…tout a l’air normal dans cette grande famille…Bisou et à dimanche.
J’aimeAimé par 1 personne
Quand voulez vous publier les textes Dom et toi ? Ce matin ? Ce soir ? Demain matin ? Bises
J’aimeAimé par 1 personne
Famille recomposée et difficultés à communiquer oui je crois que c est banal
J’aimeAimé par 1 personne
Quand tu veux ! Moi c’est dans quelques minutes et Dom suivra j’en suis certain.
J’aimeJ’aime