Elle aimait par dessus tout son grand pardesssus
Celui qu’il mettait en guise de robe de chambre
Elle aimait sa couleur grise un peu élimée
Elle aimait son pardessus et par dessus tout
Ce qui se cachait
Dessous
Elle aimait sa couleur grise en guise
De préliminaires
Elle aimait passer…
Passer la main entre deux
Entre deux de ses larges boutons
Pile….
Passer sa main et saisir sous le caleçon
Shorty de soie
Large comme il se doit
Elle aimait sa couleur grise et fourrager
Dans sa chevelure clairsemée
D’une main de l’autre
La main sous la ceinture
Sentir avec la fierte d’un démiurge
La chose innommable animale
Qui si fraiche et si douce
S’insurgeant de l’intruse
S’anime sous la prise,
Et gonffle par en dessous…
Le grand pardessus.
Oh mais dit elle mutine et le souffle court
Que vois je apparaitre ici ?
De ton grand pardessus…
Un bout de chair exquise au parfum de rosée
Entre deux boutons gris
C’est un gland !? que dis-je un roc…
Une péninsule
Qui se tape ainsi de l’incruste
Elle aime par dessus tout son grand pardessus
Et peut etre encore plus
Ce qui se cache…
Dessous
Une histoire bien montée qui nous met sans dessus dessous. Pauvre animal… manipulé.
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J’imagine que ça ne lui déplairait pas tant que ça
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Sympa ce texte tendrement érotique pardessous le pardessus 😊. Vive l’inflation!
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