Derrière le grand portail en fer ouvragé la grande salle des pas perdus impressionne les deux femmes qui osent à peine s’aventurer sur le vaste damier noir et blanc. Elle sont arrivées à l’heure passée de quelques minutes mais elles sont seules. Léna serre l’épaule d’Emma qui la voix étranglée lui dit « et si ce n’était qu’un canular ? Si personne ne venait ? » C’est alors que la porte qu’elle viennent de franchir s’ouvre. La vieille dame qui se matérialise dans l’encadrement reste figée, observe les deux femmes avec attention. Emma s’avise qu’elle a le même regard que Pierre quand il est ému, la même ride de concentration entre les mêmes yeux noisette.
Léna chancelle et se raccroche à l’épaule d’Emma, lui donne une petite bourrade, « c’est incroyable mais c’est ta maman » souffle t elle.
Emma sort le petit gant et comme en apesanteur se dirige vers la vieille femme qui lève un petit gant semblable.
CécileValentine 
Aaah ! Voilà le puzzle rassemblé pour une fin joyeuse. Le tout méritant comme nous l’avons déjà dit d’être relu dans son ensemble. As-tu écrit au fur et à mesure ou conçu ton œuvre d’avance ?
J’aimeAimé par 1 personne
Cette toute fin avait été écrite avant que je parte en vacances et je l’ai planifiée pour qu’elle paraisse par petits bouts ce mois ci ! Je suis en Normandie pour encore 15 jours sans autre connexion que le partage de connexion que me fait mon Jules… Des bises Pat et à très bientôt !!
J’aimeAimé par 1 personne