L’été nouveau né

Dans ce jour éclatant  d’un grand  plein de lumière

On voudrait résister aux tristes nouvelles

Et se consacrer à l’espoir renaissant

Chaque année au solstice qui approche

Aux  jours  allongés, sans reproche…

Mais faire bonne mine à tout ce qui vient

Faire ainsi que d’ordinaire

insouciance de bon aloi

sans tomber dans ce funeste revers 

Du déni orchestré de médias contrôlés

Est un exercice parfois trop difficile

Et quand de trop de nostalgie  le coeur s’étreint

A voir la terre si belle dont le temps est compté

Quand les infos pleuvent  injonctives et perverses

Nous abreuvant  sans trêve nous pauvres assoiffés

de nouvelles tronquées, d’analyses simplistes

Quand elles ne pointent pas l’étranger, le wokiste

Alors nous suffoquant allons toujours plus tristes

Et notre joie de vivre qui venait pour un rien

N’est plus ce  qu’elle était…

Retrouvons sinon la joie des insouciants.

Au moins la gaité du petit colibri.

Celui qui fit sa part dans l’incendie.

Un ne peut rien mais nous sommes des milliers,

Seul on ne peut porter toute la misère du monde

On peut à son niveau poser un petit acte

Un petit acte par jour c’ est un petit ruisseau.

Chacun.e son petit rù , ensemble une rivière …

Des milliers, des millions eux pourraient tout changer !

Dans ce jour éclatant d’un grand plein de lumière

Résistons mes soeurs, allons sue mes frères

 A tout ce qui nous broie,

Refusons le jeu de ceux qui nous suicident

Et sauvons notre Terre.

3 Comments

  1. Merci pour ce texte touchant et ces mots que je comprends. Des mots importants à dire, à écrire. C’est notre façon de résister au chaos de politiciens, chefs d’état et oligarques malades. L’espoir reste car nous sommes les plus nombreux y compris en haut lieu et chez les diplomates, les gens de droit à vouloir cette paix. Je crois que le mal du monde est lié au patriarcat, à l’excès de masculin, à ce profil du mâle guerrier, sauveur, héros. J’ai hâte, sincèrement, que des femmes magnifiques prennent le pouvoir car elle connaissent le vrai prix de la vie. Pardon, j’ai été un peu long

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    1. C’est un peu bis repetita avec mon appel du 19 juin celui ci ayant été écrit avant en fait 🙂 merci pour tes retours je suis d’accord pour dire qu’on étouffe sous un excès de masculinisme. Mais tu sais si on ne fait pas tomber le patriarcat jusque dans les mentalités les femmes l’ont tellement intériorisé qu’elles risquent de le perpétuer même en étant au pouvoir ! Bref la femme comme avenir de l’Homme.. pas gagné 🙂 des bises et pensées amicales

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